lundi 30 janvier 2012

La peur et l'espoir

‘le plus grand don, pour un individu ou une nation, est Abaya – l’absence de peur. Pas seulement le courage physique, mais l’absence de peur dans l’esprit’.

Gandhi

"Il se peut que l’absence de peur soit un don, mais peut-être que ce qui est plus précieux est le courage acquis par l’effort, un courage qui vient lorsqu’on cultive l’habitude de refuser que la peur dicte nos actes, un courage qui pourrait être décrit comme une grâce sous la pression – une grâce toujours renouvelée, face à une pression dure, incessante. "

Aung San Suu Kyi. Une révolution des consciences.

« C'est l'espoir qui donne son sens à la vie.
Et l'espoir se fonde sur la perspective de pouvoir un jour transformer le monde présent en un monde possible qui paraît meilleur. »

François Jacob. Le jeu des possibles.
entendu dans "Sur les épaules des géant"

mercredi 25 janvier 2012

Du capitalisme .... au talentualisme

" Le capital n'est plus le facteur de production décisif dans le système économique mondialisé. Nous vivons de plus en plus dans un monde où les avantages concurrentiels ne sont pas générés à partie de capital mais sur la base de prestations la plupart du temps intellectuelles, donc immatérielles. A cela s'ajoute le fait que, au fur et à mesure que le bien-être augmente, il se produit un glissement des valeurs de la quantité vers la qualité. La performance économique de demain ne sera donc plus déterminée par le capital mais en premier lieu par le facteur de production qu'est le "talent". Nous nous dirigeons par conséquent dans une certaine mesure du capitalisme vers le "talentisme".

par Klaus Schwab, économiste et fondateur du Forum de Davos

Les Marchés Financiers

"Ce que je mets en doute, c'est l'idée selon laquelle des marchés financiers même transparents permettraient une allocation du capital satisfaisante. Il faut a contrario considérer que les prix financiers ne fournissent pas de bons signaux aux acteurs économique"

André Orléan

mardi 24 janvier 2012

Des hauts et des bas

Il est normal de connaître des phases de hauts et de bas. Les premières génèrent de l’optimisme, les autres du pessimisme.

Pour progresser, il faut accepter ses performances. .

Ceux qui gagnent, doivent continuer à rechercher l’excellence, ceux qui perdent, sans occulter les seules limites du moment, doivent davantage se pencher sur leur potentiel, sur les ressources disponibles et se mobiliser sur les possibilités d’amélioration.

Quand on veut sortir du trouble qui en général ne manque pas de s’installer quand les résultats ne suivent pas, la tendance première est de faire appel aux seules vertus combattives. La réussite semble ne devoir passer que par un surpassement dans le combat, dans l'énergie. Mais ce choix pousse à s’appuyer sur un jeu forcement restrictif. En fait, il faut d’abord désirer convertir, transformer sa production, bref, comme on dit en rugby, d’être aussi à la quête du «mieux jouer» .

On ne sort que rarement gagnant des seuls combats absurdes dans lesquels l’énergie est dépensée gratuitement bien trop souvent contre l’autre, contre l’adversaire et pas pour soi.
Face à l’échec, créer un autre état d’esprit est incontournable, il faut accepter de vouloir sortir de l’humiliation.

Pour retrouver le sourire il faut aussi accepter les risques du jeu et ses aléas. En s’appuyant sur la seule gestion de l’énergie et de la combativité, on ne s’inscrit plus dans une logique de performance. On développe individuellement et collectivement plutôt un sentiment d’auto destruction qui bloque les initiatives.

D'après un article de Villepreux , ancien coach de l'équipe de France de rugby.

mercredi 18 janvier 2012

Esther Duflo

"La pauvreté n'est pas une maladie, c'est un faisceau de maladies. Elle résulte d'un ensemble de phénomènes, liés à la santé, à l'éducation et, plus généralement, à la difficulté de se réaliser."

"L'idée que les gens meurent de faim parce qu'il n'y a pas assez à manger reste très prégnante : on dépense des sommes colossales en aide alimentaire, alors que - hormis dans le cas d'une famine - il s'agit peut-être davantage d'un problème de qualité que de quantité.

Esther Duflo

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dimanche 8 janvier 2012

Pourquoi les insectes ont 6 pattes?

Parce que pour se déplacer avec 6 pattes, les insectes n'ont pas besoin d'un système nerveux centralisé.Chaque paire de pattes est commandée de façon autonome. Avec seulement  4 ou 2 jambes, il faut que chaque mouvement d'un membre soit étroitement coordonné, par un système nerveux centralisé.

A confirmer

Cela donne des pistes de réflexion pour l'architecture de de Système d'informations: Avec ou sans coordination centralisée?
 Blog sympa 
Graffitis
Graffiti toulouse
Grafittis
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الكتابة على الجدران
Grafitti Dakar
Grafiti New York

Il est possible de voyager (Graffiti New York, Berlin, Barcelonne) , de suivre l'actualité( Libye, Athene, Jerusalem...etc), choisir des thèmes (love, peace, soft, hard,, police, fuck,revolution, art , chat, chien,horse....)
Un grafiti  peut avoir un sens  (Politique, social, drole, absurde), ou marquer une identité ou contester l'ordre établ. Un tag peut être destiné a quelqu'un en particulier ou à un groupe restreint. L'auteur prend en général un risque : Soit le motif, le message est important (au moins pour lui), soit c'est cette prise de  risque et l'adrénaline ou la reconnaissance sociale qu'elle procure qui est recherché.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Graffiti
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pixa%C3%A7%C3%A3o

 Musique : Skrillex

Art et liberté

Chaque être humain est un artiste, un être libre, appelé à participer à la transformation et aux modifications des cadres qui nous construisent, nous informent, structurent nos vies.
Joseph Beuys

Beuys crée le concept de sculpture sociale devant permettre d'arriver à une société plus juste ; il pense que tout homme est artiste, et que si chacun utilise sa créativité, tous seront libres.

Anonymat et liberté

"La protection de notre vie privée et de notre anonymat est intimement liée à la préservation de nos libertés fondamentales. Or, sur Internet, nous acceptons d'être espionnés en permanence par Google ou Facebook, et par des agences d'Etat. En échange, nous recevons des services très pratiques, mais, à mon sens, c'est trop cher payé."

David Darts

vendredi 6 janvier 2012

Pourquoi les chats retombent toujours sur leurs pattes ?

Enfin la réponse: Parce qu’ils ont une queue. La queue (des chats, mais aussi des lézards, doncsans doute des dinosaures) sert a contrôler lors des sauts l'inclinaison du corps, un peu comme la perche des funambules.
Des films "grand vitesse" sur des lézards, puis des robots sauteurs (4 roues + 1 queue) on mis en évidence le principe.