dimanche 24 octobre 2010

Fin du monde

Nos sociétés ne sont pas fondamentalement différentes des sociétés sauvages ; elles se préparent aux catastrophes futures en se racontant des histoires sur les êtres composant leur environnement. Si l'histoire de la pandémie marche si bien, c'est parce qu'elle touche très profondément à notre rapport à la nature et à la mort.

Frédéric Keck, anthropologue,auteur d' "un monde grippé "

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